Therapie Holographique Integree

Shéma de Programmation

 Shéma


Conclusion

Notre raison d'être:
L'apprentissage dans le monde à trois dimensions.

Rien ne marche dans notre monde tri-dimensionnel, plus on essaie de comprendre, de faire avancer les choses et plus on est frustré car on fonctionne sur un mode intellectuel contrôlé totalement par l' EGO.

Par contre si notre conscience peut atteindre les dimensions de son propre monde spirituel par l'ouverture du septième chakra, nous serons capable de voir la perfection de notre propre univers.

Au niveau terrestre, tout est imparfait, les systèmes politiques, sociaux, financiers, médicaux, éducatifs, etc, sont en crise permanente, c'est le champ de bataille de courants et d'idées contradictoires qui s'affrontent et s'entredéchirent.

L'EGO de chaque individu crée des règles et des dogmes arbitraires exprimés par l'Intellect, et qui sont différents de ceux du voisin.

S'angoisser, se faire du souci parce que rien ne marche est une perte de temps puisque tout est chaotique sur le plan terrestre.

En effet, si tout marchait comme le souhaite notre Intellect, nous ne pourrions pas évoluer, nous serions immobilisés par le succès, notre évolution serait énormément ralentie, voire nulle.

Exemple: Lorsqu'on pratique une activité qui rapporte beaucoup d'argent, on a tendance à se focaliser sur son succès et à tendre vers toujours plus de résultats et plus d'argent.

Le succès matériel empêche souvent l'éveil spirituel et le contact avec sa conscience supérieure.

Plus généralement, le succès sur le plan terrestre est le principal handicap à notre évolution.

Exemple: Si dans un casino on gagnait à la roulette sans interrruption, il est probable qu'on y resterait jusqu'à la mort.

Il est plus important de travailler à son évolution qu'à son succès sur le plan terrestre.
De toute manière, nos créations et nos productions terrestres disparaîtront tôt ou tard, seules les énergies que nous aurons mises en oeuvre pour les réaliser seront enregistrées et conservées éternellement.

Le résultat d'une action a très peu d'importance par rapport au type d'énergie employée pour parvenir au résultat.

Et l'on peut retourner l'adage connu en disant: "La fin ne justifie pas les moyens".

Au cours de l'apprentissage de notre vie, il n'y a pas lieu d'avoir peur de l'échec car l'échec n'entraîne aucune sanction si ce n'est de froisser notre EGO. Nous avons peur d'entreprendre car notre EGO redoute le ridicule.

Il faut savoir qu'un échec ne coûte rien.

Exemple: Lorsque vers l'âge d'un an nous apprenons à marcher, nos parents ne nous ridiculisent pas après chaque échec, les chutes sont sans importance et seul le succès après de nombreuses tentatives reste marqué dans les mémoires de notre entourage.

Le mode d'emploi de notre apprentissage est le suivant: Lorsque nous arrivons au but désiré par des moyens adéquats, nous avons gagné; lorsque nous n'atteignons pas le but, cela n'a pas d'importance car, comme nous l'avons vu, ce qui compte, c'est l'énergie déployée et non le résultat.

La vie fonctionne comme une machine à sous qui ne coûterait rien: on peut jouer en permanence et faire autant d'essais gratuits qu'on veut jusqu'au moment où l'on décroche le gros lot.

Il faut créer sa réalité quant à son apprentissage, savoir faire taire l'EGO au moment des ratages et pouvoir continuer en sachant que seules les erreurs nous permettent d'évoluer.

Le monde à trois dimensions est conditionné par l'EGO qui nous rend anxieux et angoissé lorsque nous échouons.

C'est en travaillant sur ses erreurs qu'on s'améliore, et lorqu'on arrive au but, personne ne demande le nombre d'erreurs commises avant de réussir.

La majorité d'entre nous vivent un mariage stérile et exercent une activité professionelle routinière et inintéressante, sans en changer jusqu'à la mort, car nous croyons que le changement est impossible (souvent à l'image de ce qu'ont vécu nos parents).

Croire que changer constitue un échec crée la peur du changement.

Nous avons un énorme potentiel de création et de créativité, mais nous vivons des existences mécaniques et stériles à l'image de robots; parce que nous redoutons le changement et l'échec.

En d'autres termes, nous poursuivons, sans même nous en rendre compte, une programmation qui fut en grande partie celle de nos parents.

Pour pouvoir être heureux et vivre pleinement sa vie, il faut pouvoir ressentir sa conscience supérieure et communiquer avec elle.

Satisfaire uniquement ses besoins au niveau du physique n'ouvre pas des horizons stimulants ou épanouissants. Dans nos expériences de vie, l'important est l'énergie déployée pour aller dans le sens de l'évolution.

Se tuer à la tâche pour accumuler des valeurs matérielles éphémères n'a aucun sens. On s'agite et on se précipite comme si on allait construire quelque chose de permanent et qu'on allait rester vivant pour l'éternité.

Qu'est-ce qui est important ?
Après la mort physique, chacun gardera la connaissance acquise à travers ses multiples expriences, mais devra laisser tous ses biens matériels derrière soi.

Donc, l'important n'est pas ce que nous faisons ou produisons, mais l'expérience acquise et notre attitude envers elle.

Connaître le désir de son coeur et communiquer son amour à l'entourage.

Développer la conscience de son Guide Spirituel pour pouvoir l'interroger en cas de détresse, apprendre à prendre du recul face à ses problèmes pour savoir les démystifier et les regarder de haut et avec humour.

Cela permet de se relaxer au lieu de somatiser, les entraves qui nous bloquaient deviennent des détails dont nous pouvons sourire, et nous retrouvons un corps équilibré et un esprit sain.


Nos cinq étapes d'évolution peuvent être les suivantes :

1) Comprendre sa programmation pendant l'enfance.
a) sur soi-même.
b) sur les autres.

2) Accepter sa condition.
a) pour soi-même.
b) par rapport aux autres.

3) Ressentir de la compassion.
a) pour soi-même.
b) pour les autres.

4) Savoir pardonner.
a) à soi-même.
b) aux autres.

5) Communiquer l'amour inconditionnel.
a) à soi-même.
b) aux autres.

Entreprendre les cinq étapes sur soi-même pour commencer, puis sur les autres.